Broadcom a confirmé qu’il prévoyait de clôturer son acquisition de 69 milliards de dollars de VMware mercredi, après avoir obtenu toutes les autorisations réglementaires nécessaires. Les régulateurs chinois ont approuvé la fusion entre les deux entreprises, mettant fin à des mois de scrutiny réglementaire intensif. L’approbation de la Chine est accompagnée de «conditions restrictives» limitées, a noté la société. Les régulateurs chinois ont exigé que Broadcom ne se sert pas de la fusion pour abuser de sa position sur le marché et qu’il maintienne l’interopérabilité entre les serveurs VMware et les fournisseurs de matériel tiers alternatives. «Broadcom a reçu l’autorisation légale de fusion en Australie, au Brésil, au Canada, en Chine, dans l’Union européenne, en Israël, au Japon, en Afrique du Sud, en Corée du Sud, à Taïwan, au Royaume-Uni et en vertu de la législation sur les investissements étrangers dans tous les pays nécessaires», a déclaré Broadcom dans un communiqué. Le fabricant de puces a ajouté qu’il n’y avait «aucun obstacle légal» à la clôture de la transaction en vertu des règlements américains sur les fusions.
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‘Écrit par Emma Roth, dont le portfolio couvre aussi bien les percées technologiques grand public, les dynamiques de l’industrie du