Les États-Unis, la Grande-Bretagne et d’autres pays signent un accord pour rendre l’IA «sécurisée par conception»

Les mots de l’intelligence artificielle sont vus dans cette illustration du 31 mars 2023. REUTERS / Dado Ruvic / Illustration / Photo de fichier Acquérir les droits de licence WASHINGTON, 27 nov. (Reuters) – Les États-Unis, la Grande-Bretagne et plus d’une douzaine d’autres pays ont dévoilé dimanche ce que décrivait un haut responsable américain comme étant le premier accord international détaillé sur la façon de prévenir les dangers de l’intelligence artificielle, en mettant l’accent sur les entreprises pour qu’elles créent des systèmes d’IA « sécurisés par conception ». Dans un document de 20 pages dévoilé dimanche, les 18 pays ont convenu que les entreprises qui concevaient et utilisaient l’IA devaient développer et déployer celle-ci de manière à préserver les clients et le public en général des mauvaises utilisations. L’accord n’est pas contraignant et ne contient que des recommandations générales telles que la surveillance des systèmes d’IA pour détecter les abus, la protection des données contre la falsification et le contrôle des fournisseurs de logiciels. Néanmoins, la directrice du Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA) des États-Unis, Jen Easterly, a déclaré que c’était important que tant de pays mettent leur nom sur l’idée que les systèmes d’IA devaient mettre la sécurité en premier.

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