« Vous ne recevez pas ce que vous ne payez pas, mais personne n’est payé suffisamment pour être abusé. »

Ici, à The Register, nous ne garantissons pas grand-chose – à part le fait que chaque vendredi matin, la rubrique On Call, consacrée aux histoires de nos lecteurs sur leurs expériences en matière de prestation de services de support et de la réponse parfois sauvage à leurs efforts, accueillera un nouvel épisode. Cette semaine, rencontrez un lecteur que nous appellerons « Doug », qui a travaillé dans le siège social d’une entreprise qui, selon ses propres termes, « creuse de gigantesques trous dans le sol et déterre de petits mais précieux morceaux de divers métaux ». Doug décrit le bureau comme étant « plein à craquer de directeurs, de personnel administratif et similaire, la plupart d’entre eux étant convaincus que si leur connexion est interrompue pendant même une heure, les morceaux de métaux précieux cesseront de sortir des trous dans le sol ». Malgré le désir de l’entreprise de disposer d’une résilience et d’une fiabilité, les décideurs ont décidé de faire des économies sur la connectivité et ont commandé une connexion à large bande de type grand public. Doug a essayé de les faire changer d’avis. Selon lui, le bureau était relié par un opérateur qui proposait des lignes louées correctement gérées, rendues possibles par l’installation prévoyante de fibres optiques. Doug a expliqué que de telles connexions offraient une vitesse et une fiabilité qui valaient bien le prix à payer, compte tenu des besoins critiques de l’entreprise. Il a également souligné que les lignes louées étaient très bien prix par rapport au même service proposé par les concurrents.

Share the Post: