L’Agence spatiale européenne (ESA) a déclaré que sa fusée Ariane 6 était « prête à décoller » – au moins en ce qui concerne sa capacité à lancer la fusée retardée depuis longtemps. Cependant, certaines inquiétudes persistent quant aux performances de sa propulsion supérieure. Ces nouvelles mixtes sont apparues dans un message publié mardi qui détaillait deux récents tests de la fusée. Un test du 7 décembre de la propulsion supérieure de la fusée a supposé un décollage normal, puis a introduit ce que l’ESA a décrit comme « des conditions dégradées pour évaluer la robustesse de la propulsion et sa réaction dans des conditions extrêmes et inattendues ». Le test a été interrompu après que des capteurs aient détecté que certains paramètres avaient dépassé les seuils prédéterminés. Les moteurs ont été arrêtés et le modèle d’essai de la propulsion supérieure mis en sécurité. Ce n’était pas le résultat que voulait l’ESA. Mais ce n’était pas non plus un désastre, car le test n’utilisait pas le profil de vol normal d’Ariane 6 ni sa configuration pour son premier vol. Les résultats d’une enquête sont attendus en janvier 2024, mais l’ESA a déclaré qu’elle était « confiante que ces investigations n’auront aucun impact sur l’horaire du premier vol d’Ariane 6 ».
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En y repensant, cela aurait pu être un indice. Mais au début de l’année 2010, lorsque Kamni Vallabh a commencé
