‘Alec Stapp et Caleb Watney ont un plan pour le progrès national’

Dans les années 1970, les États-Unis ont perdu l’avenir. La croissance de la productivité depuis ces décennies est en déclin. Construire des choses est devenu de plus en plus difficile et coûteux. Les progrès scientifiques réels ont stagné, tout comme notre espérance de vie. Nous volons même plus lentement qu’à l’époque où le Concorde supersonique pouvait traverser l’océan Atlantique en trois heures et demie. Alec Stapp et Caleb Watney veulent ramener les États-Unis vers l’avenir qu’ils auraient dû avoir. En tant que co-PDG de l’Institut pour le Progrès, un groupe de réflexion basé à Washington DC qu’ils ont co-fondé en 2022, Stapp et Watney sont devenus des voix leader pour un petit mais croissant groupe de penseurs qui veulent stimuler le progrès scientifique, technologique et industriel. Dans un monde politique qui semble largement axé sur ce qu’il ne peut pas faire, sur le fait de dire non, Stapp et Watney essaient de construire une coalition qui peut dire oui à une Amérique plus grande, plus rapide et plus innovante. Cette agenda se traduit par des recherches rigoureuses sur les avantages d’un progrès plus rapide et plus agressif, et peut-être même plus important, sur les inconvénients du statu quo. Comme le disent Stapp et Watney dans un essai lançant l’institut: « Au cours des 50 dernières années, nous avons augmenté le nombre de points de veto à presque chaque niveau gouvernemental, échoué à investir dans la capacité de l’État et augmenté les enjeux du débat par la polarisation. » Personne n’a cherché à créer des obstacles au progrès, mais le résultat a été une Amérique plus pauvre qu’elle ne devrait l’être, qui n’est pas préparée pour l’énorme expansion des nouvelles infrastructures énergétiques nécessaires pour lutter contre le changement climatique, et qui rejette les talents étrangers qui pourraient contribuer aux idées et créer des entreprises pour assurer un avenir bien meilleur pour le pays. Pour sélectionner les Future Perfect 50 de cette année, notre équipe a suivi un processus de plusieurs mois. Nous avons commencé avec la liste de l’année dernière, nous avons fait des séances de brainstorming, approfondi nos recherches et pris contact avec notre public et nos sources. Nous ne voulions pas sureprésenter une seule catégorie, donc nous avons visé la diversité en termes de théories du changement, de spécialités académiques, d’âge, de localisation géographique, d’identité, et de nombreux autres critères.

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