Février a été un mois mouvementé dans le secteur technologique alors que l’opérateur de ransomware LockBit, qui a accumulé des milliards de dollars de gains frauduleux dans ses environ quatre années d’existence, a été neutralisé par une force internationale dirigée par l’agence nationale du crime du Royaume-Uni. Par ailleurs, ChatGPT a subi un revers majeur lorsque les utilisateurs ont remarqué que ce chatbot de premier plan répondait à des commandes avec un charabia complet. Bien que le problème ait été résolu dans un délai d’un jour après avoir été signalé, cela soulève d’importantes questions concernant la fiabilité du service et de la technologie qui le sous-tend. Dans cet épisode, Jane et Rory accueillent de nouveau Ross Kelly, rédacteur en chef des actualités et de l’analyse d’ITPro, pour explorer l’histoire majeure de la cybersécurité de février et discuter de ce que ce moment de folie de ChatGPT signifie pour l’IA générative. « Ce n’est pas sans précédent. Nous avons vu ce genre de situations auparavant, avec les neutralisations de Qakbot, Emotet. Nous l’avons également vu avec ALPHV. Je pense que ce qui est vraiment intéressant ici, c’est que les agences de l’application de la loi deviennent vraiment agressives et qu’il y a beaucoup de coordination à l’échelle mondiale. Nous avons le FBI, la NCA, beaucoup de partenaires internationaux coordonnant cela. » « La NCA va évidemment mettre l’accent sur l’impact de ceci et sur le fait positif de neutraliser LockBit. LockBit va vraiment essayer de minimiser cela en faisant croire qu’ils restent une menace sérieuse pour les organisations. »
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