La société Fintech Block est apparemment sous enquête par les procureurs américains suite aux déclarations d’un ancien employé selon lesquelles des contrôles de conformité négligents signifieraient que ses services Square et Cash App auraient pu être utilisés par des terroristes – ou dans des pays où les organisations américaines ne sont pas autorisées à faire des affaires. L’ancien collaborateur aurait apparemment quitté Block – fondé par l’ancien patron de Twitter Jack Dorsey – avec environ 100 documents détaillant les manquements en matière de conformité. Ces documents auraient été remis aux procureurs du Southern District de New York, selon NBC News. « Selon les documents, j’ai compris que les défaillances en matière de conformité étaient connues de la direction de Block et du conseil d’administration ces dernières années », a expliqué l’avocat Edward Siedle, qui représente la personne ayant divulgué les informations et qui était également en contact avec les autorités fédérales, selon NBC. Les documents incluent des détails d’un rapport établi par des consultants externes engagés pour veiller à ce que les activités de Square et de Cash App de Block soient conformes à la loi américaine. Les examinateurs ont identifié près de 50 problèmes nécessitant une correction. Block a affirmé que ce n’est pas rare après des examens de systèmes complexes et que l’engagement d’une équipe d’audit indépendante montre qu’il prend la conformité au sérieux. « Block dispose d’un programme de conformité responsable et complet et adapte régulièrement ses pratiques pour faire face aux menaces émergentes et à un environnement réglementaire en constante évolution en matière de sanctions », a déclaré un porte-parole à The Register.
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En y repensant, cela aurait pu être un indice. Mais au début de l’année 2010, lorsque Kamni Vallabh a commencé
