Article sponsorisé Se défendre contre les menaces cybernétiques d’aujourd’hui n’est pas si différent de protéger un château médiéval contre une attaque il y a mille ans. C’est l’opinion de Chris Cheyne, directeur SOC chez SecurityHQ, un fournisseur de services de sécurité gérés (MSSP), qui affirme que la division des risques en leurs composantes et l’identification des faiblesses des défenses devraient être le premier point à considérer. Vous pouvez en apprendre davantage de la part de Chris dans cette interview avec Tim Phillips du Register. De nombreuses organisations ont du mal à comprendre l’ampleur et la gravité des risques en matière de cybersécurité, et/ou ne mesurent pas les risques en termes d’impact potentiel sur l’activité commerciale ou les actifs opérationnels. Savoir qui est votre ennemi et comment il est susceptible de chercher une vulnérabilité est un autre élément important du puzzle. Mais trop souvent, les entreprises ne quantifient pas les plus grands dangers pour leur activité, ce qui peut avoir un effet préjudiciable sur leur capacité à protéger efficacement leurs personnes et leurs processus.
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