« Musk, Bezos ont besoin de seulement 90 minutes pour égaler votre empreinte carbone de toute une vie, selon Oxfam »

En réponse à une étude récente publiée par l’organisation à but non lucratif mondiale Oxfam, il est devenu essentiel de réfléchir à l’empreinte carbone attribuée au mode de vie des individus les plus riches du monde. L’étude détaille les émissions provenant des jets privés et des yachts possédés par des milliardaires tels qu’Elon Musk et Jeff Bezos, déclarant que leur niveau de pollution est substantiel. Une perspective intrigante sur la richesse et l’impact environnemental est offerte dans cette recherche, car elle souligne les répercussions d’une opulence sans égale.

L’étude d’Oxfam attribue une pollution environnementale significative aux modes de voyage de luxe tels que les jets privés et les yachts, communs parmi les super-riches du monde. De plus, les émissions nuisibles pour le climat provenant de leurs stratégies d’investissement sont examinées. Le directeur exécutif d’Oxfam International, Amitabh Behar, affirme : « La recherche d’Oxfam met en évidence : les émissions extrêmes des plus riches, dues à leurs modes de vie extravagants et à leurs investissements polluants, exacerbent l’inégalité et favorisent la faim – et il ne fait aucun doute qu’ils constituent une menace pour la vie ».

Ces choix de vie, y compris l’utilisation notable des jets privés, ont souvent été directement critiqués par le public. L’étude a révélé que ces avions sont en effet une source considérable de pollution, mais a découvert que d’autres aspects de leur vie opulente ont un impact encore plus significatif.

Les analyses des jets privés associés à 23 milliardaires ont montré une quantité astronomique de pollution. Ils prennent l’air en moyenne 184 fois sur 12 mois, passant environ 425 heures dans les airs durant cette période. Ces vols génèrent en moyenne 2 074 tonnes d’émissions de dioxyde de carbone. Remarquablement, cela équivaut aux émissions qu’un individu moyen produirait en 300 ans, ou la quantité produite par les 50% les plus pauvres de la population mondiale vivant pendant deux millénaires.

Pourtant, l’étude ne met pas seulement en lumière le mode de vie extravagant des milliardaires, mais attire également l’attention sur les émissions de carbone substantielles mais négligées de leurs investissements à haute valeur. Ce document provocant d’Oxfam vise à souligner l’urgence de changements de politique, encourageant des investissements qui s’alignent davantage sur les objectifs environnementaux mondiaux.

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