« Marissa Mayer, ancienne ingénieure de Google et PDG de Yahoo, considère l’intelligence artificielle (IA) non pas comme une menace potentielle ou un domaine nécessitant des barrières éthiques, mais comme un rayon de soleil, une force qui transmet continuellement de la sagesse et ne cesse de donner. Inspirée par son analogie de l’IA, Mayer a lancé sa start-up, Sunshine, qui utilise l’IA pour améliorer la vie familiale et sociale. Les services vont du partage de photos et de la gestion des contacts à l’organisation d’événements.
Lors d’une récente discussion au dynamique bureau de Sunshine à Palo Alto, Mayer a exprimé sa confiance indéfectible en l’IA. Cet optimisme pour les machines intelligentes est partagé par beaucoup, y compris des personnes comme Claude d’Anthropics, qui illustre l’utilisation de l’IA comme un ami, fournissant souvent une solution intelligente à des situations personnelles. La foi de Mayer dans les possibilités infinies de l’IA est inébranlable et contagieuse.
Cependant, la position de Mayer sur le féminisme a fait l’objet de controverses. Sa vision moins favorable du féminisme, qu’elle a mentionné pour la première fois en 2013, n’a pas fléchi, mais s’est solidifiée avec les années. Cette position particulière lui a valu des critiques du camp libéral, qui défend l’idée de femmes exceptionnelles dans des secteurs comme la Silicon Valley, unies dans leur quête du féminisme.
Mayer, partageant son expérience de grandissement, a expliqué sa décision de prendre ses distances avec le féminisme. Pour elle, c’était une cause méritoire initialement, mais qui est devenue de plus en plus aigüe et dure au lieu de rester basée sur le mérite.
Plutôt que de relier la position de Mayer sur le féminisme à une possible décision de privilégier la famille à la carrière après son départ de Yahoo en 2017, il est important de regarder son parcours en tant que scientifique informatique à Stanford et son temps chez Google, où elle a été la 20ème embauche. En tant que geek passionnée avant tout, Mayer a moins mis l’accent sur les normes de genre et plus sur son dévouement pour les technologies futures, une approche réaliste et viable dans le monde toujours en évolution de la technologie. »