« Le choix de Donald Trump pour l’EPA veut ‘faire de l’Amérique la capitale mondiale de l’IA' »

Rédigé par la journaliste scientifique chevronnée, Justine Calma, qui anime également le podcast Hell or High Water: When Disaster Hits Home, cet article discute de la manière dont l’ancien Représentant Lee Zeldin, choisi par le prochain président Donald Trump pour être à la tête de l’Agence de Protection de l’Environnement (EPA), se concentre sur le potentiel de l’intelligence artificielle (IA). Zeldin a annoncé des plans pour faire de l’Amérique le leader mondial en IA et pour ouvrir la voie à la domination industrielle dans le secteur de l’énergie. Ceci a été publié sur X aujourd’hui.

L’EPA, qui a le pouvoir de réguler les émissions nuisibles pour l’environnement et le changement climatique, pourrait influencer de manière significative les implications d’une demande accrue d’énergie due à l’utilisation croissante de l’IA, ce qui pourrait entraîner une augmentation de la pollution des centrales électriques. Cependant, des indices suggèrent que Zeldin, le futur chef de l’EPA, favorise le développement des entreprises et l’expansion des centres de données en IA, même si cela signifie réduire les protections environnementales.

Cette position inquiète les défenseurs de l’environnement qui s’inquiètent de la vision de Trump pour l’EPA. Selon Manish Bapna, à la tête du Natural Resources Defense Council (NRDC), les exigences pour les centres de données peuvent être satisfaites sans renoncer aux réglementations de l’EPA visant à réduire la pollution des centrales électriques et à minimiser le changement climatique. Il met l’accent sur le rôle central de l’EPA dans la protection de l’air et de l’eau propres et de la santé publique, et espère que le futur administrateur mènera les opérations en conséquence.

Compte tenu de ses précédentes assurances de campagne, le second mandat de Trump devrait vraisemblablement témoigner d’une dérégulation substantielle. Durant son premier mandat, l’administration Trump a été responsable de l’élimination de plus de 100 réglementations liées à l’environnement, et de la nomination de juges à la Cour Suprême dont les verdicts ont limité la capacité des agences fédérales à superviser les opérations industrielles.

Share the Post: