La British Library nie les rapports suggérant que les coûts de récupération de son attaque de rançongiciel en 2023 pourraient atteindre près de 9 millions de dollars alors que les travaux de restauration des services sont toujours en cours. L’institution a déclaré dans un communiqué aujourd’hui que les coûts finaux restent « non confirmés » et aucune offre supplémentaire de financement pour soutenir la reconstruction n’a encore été faite. Des rapports publiés le week-end dernier ont suggéré que les coûts de récupération du rançongiciel étaient attendus à hauteur de 7 millions de livres sterling (8,9 millions de dollars), soit environ dix fois la somme initiale de la rançon, ce qui pourrait entamer de manière significative ses réserves de trésorerie. Le Financial Times a été le premier à rapporter la prédiction maintenant contestée des coûts de récupération de la bibliothèque, une somme qui représenterait environ 40% de ses fonds de précaution. Citant des inexactitudes dans les rapports plus larges, un porte-parole de la British Library a déclaré au Register : « Les coûts finaux de récupération de la récente cyberattaque ne sont toujours pas confirmés. La British Library et son parrain gouvernemental, le Department for Culture, Media and Sport (DCMS), restent en contact étroit et régulier. La Bibliothèque maintient toujours sa propre réserve financière pour faire face à des problèmes inattendus et aucune offre de financement supplémentaire n’a été faite à ce stade. »
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