Les dirigeants d’entreprise, toujours sous le charme des possibilités offertes par l’intelligence artificielle générative (IAG), insistent généralement pour que leurs départements informatiques trouvent comment faire fonctionner la technologie. mettons de côté les préoccupations habituelles concernant l’IAG, telles que les hallucinations et les autres erreurs qui rendent essentiel de vérifier chaque ligne qu’elle génère (et d’éliminer tout espoir d’amélioration de l’efficacité). Ou que la fuite de données est inévitable et qu’il sera presque impossible de la détecter avant qu’il ne soit trop tard. (OWASP a dressé une impressionnante liste des plus grandes menace pour les TI provenant de l’IAG et des LLM en général). La logique et le bon sens ne sont pas toujours les forces des cadres supérieurs lorsqu’ils sont en mission. Cela signifie que la question informatique ne sera rarement «Devrions-nous faire de l’IAG? Cela a-t-il un sens pour nous?» Ce sera: «Nous avons reçu l’ordre de le faire. Quelle est la manière la plus efficace et sécuritaire de procéder? Avec ces questions en tête, j’ai été intrigué par une entrevue de Adam Selipsky, PDG d’AWS, avec Associated Press – en particulier ce commentaire: «La plupart de nos clients d’entreprise ne vont pas construire de modèles. La plupart d’entre eux veulent utiliser des modèles que d’autres ont construits. L’idée qu’une seule entreprise fournira tous les modèles du monde, je pense, est tout simplement irréaliste. Nous avons découvert que les clients ont besoin d’expérimenter et nous leur fournissons ce service.» C’est un argument valable et une bonne synthèse de la pensée de nombreux dirigeants d’entreprise. Mais devrait-il en être ainsi? Le choix n’est pas seulement d’acheter ou de construire. L’entreprise doit-elle créer et gérer son propre modèle? Faire confiance à un grand joueur (tel que AWS, Microsoft ou Google en particulier)? Ou utiliser l’un des nombreux petits joueurs spécialisés dans le domaine de l’IAG?
« La Croisade acharnée d’un couple pour arrêter un tueur génétique »
En y repensant, cela aurait pu être un indice. Mais au début de l’année 2010, lorsque Kamni Vallabh a commencé
