L’émergence de l’unité de traitement neuronal (NPU) peut être considérée comme un changement de jeu pour les ordinateurs personnels (PC), mais trouver le bon équilibre dans la conception de produit reste essentiel pour offrir ce que les consommateurs veulent. La demande croissante en milieu de travail pour des outils d’intelligence artificielle (IA), notamment l’IA générative (GenAI), a incité des acteurs de l’industrie tels que les fabricants de puces et les fabricants de dispositifs à s’assurer que leurs produits peuvent soutenir cette évolution. Aussi : Qu’est-ce qu’un PC IA ? (Et devriez-vous en acheter un ?) En particulier, les PC devront suivre le rythme à mesure que les entreprises déplaceront les charges de travail d’IA du cloud vers les appareils clients. Ce changement peut améliorer les performances en éliminant le besoin d’envoyer les charges de travail d’IA vers le cloud et de les renvoyer vers l’appareil de l’utilisateur. Les entreprises pourraient également renforcer la confidentialité et la sécurité des données en conservant les données sur l’appareil, plutôt que de les déplacer de et vers le cloud. Parce que les tâches d’IA qui s’exécutent localement sur un PC sont généralement exécutées par l’UC (unité centrale de traitement), le GPU (unité de traitement graphique), ou les deux, les performances de l’appareil et la durée de vie de la batterie peuvent se dégrader, car aucun n’est optimisé pour le traitement des tâches d’IA. C’est là que les puces spécifiques à l’IA, ou les NPU, entrent en jeu.
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