Critique de Smile 2 : Une pop star est hantée dans la suite effrayante de l’horreur | Actualités technologiques

« Faisant un retour triomphant avec une vengeance glaçante, voici la suite tant attendue du succès d’horreur surprise de 2022, ‘Smile’. ‘Smile 2’, réalisé sous la direction experte de Parker Finn, offre toute l’horreur pétrifiante qui a fait de l’original un succès culte et plus encore. Finn, qui a également dirigé le film original adapté de son court métrage de 2020, ‘Laura n’a pas dormi’, nous invite à nouveau dans un monde terrifiant où une entité surnaturelle effrayante sème la pagaille en modifiant la perception de la réalité de ses victimes, les poussant finalement au suicide.

Sautant d’une victime à une autre, cet esprit redoutable est inévitable ; le seul répit de son étreinte fatale est d’orchestrer la fin de quelqu’un d’autre sous les yeux vigilants d’un autre. Le personnage de Kyle Gallner, Joel, qui a survécu à une rencontre horrifiante avec cette entité, lutte avec la malédiction qui semble s’accrocher à la pop star cébutante, Skye Riley, brillamment interprétée par Naomi Scott.

Skye, une pop star luttant pour sa sobriété après un accident de voiture cataclysmique qui lui a pris son petit ami tout aussi célèbre, se tient au bord de son retour professionnel alors qu’elle devient la nouvelle cible de l’entité malveillante. La décomposition accélérée de sa vie personnelle est reflétée par le tourment effrayant que cette force maligne lui inflige. ‘Smile 2’ fusionne superbement l’horreur qui glace le sang avec des éclats d’humour décalé et parfaitement chronométrés, résultant en un mélange nuancé qui tempère l’aura effrayante qui imprègne le film.

Fortifié par un budget nettement plus important, la suite repousse les limites, élargissant la portée horrifique de son prédécesseur avec des scènes imposantes mettant en vedette des pyrotechnies lors des concerts de pop. Une distribution d’ensemble étoilée comprenant Rosemarie DeWitt, Lukas Gage, Dylan Gelula, Peter Jacobson, Miles Gutierrez-Riley et Raúl Castillo ajoute à l’attrait du film.

S’appuyant sur les solides bases de l’original, le réalisateur Finn insuffle de la profondeur à ‘Smile 2’, portant sa durée à 127 minutes conséquentes. Cet élargissement du temps a été habilement utilisé pour amplifier le quotient d’horreur du film tout en conservant une généreuse dose de gore, fortifiant la cote R du film.

Un trait significatif qui distingue ‘Smile’ est son intégration sans faille de l’horreur avec une touche d’humour noir. Finn maintient cet équilibre délicat dans ‘Smile 2’, soulignant adroitement les sous-tons comiques. Au cœur de cet équilibre, le personnage de Naomi Scott, Skye, enrichit chaque scène d’un flair comique qui ponctue le récit sinon glaçant.

Scott livre une performance exceptionnelle alors qu’elle dépeint magistralement le tumulte émotionnel de Skye alors qu’elle lutte avec son persécuteur implacable, s’avérant être captivant tout au long. Le film traverse une multitude de terrains, englobant les pressions sociales et professionnelles, les dessous de la célébrité, et la notion de l’image de soi.

Cependant, ‘Smile 2’ n’est pas sans ses défauts. La longue durée du film dilue quelque peu l’intensité du film en introduisant des thèmes répétitifs et des séquences d’horreur prévisibles. Sa dépendance à l’égard des jump scares pourrait se révéler polarisante parmi les fans d’horreur ; une tactique appréciée par certains mais décriée par d’autres.

Malgré ses défauts, ‘Smile 2’ consolide sa place dans les annales de l’horreur. Bien qu’il ne réinvente pas le genre ou ne repousse pas les limites comme ‘Terrifier 3’, il promet un mélange enivrant de jump scares, une performance captivante de Naomi Scott, et un rush d’adrénaline. Le film se termine sur une note intrigante, laissant la place à un potentiel ‘Smile 3’. Plus que tout, ‘Smile 2’ promet plus que les spectateurs n’oseraient espérer et les laisse affamés de plus. »

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