CrowdStrike est confronté à des poursuites judiciaires après avoir publié une mise à jour qui a provoqué une panne informatique mondiale il y a deux semaines – la première provenant de ses propres actionnaires. Le 19 juillet, CrowdStrike a envoyé une mise à jour défectueuse à son système de détection Falcon, provoquant le plantage de 8,5 millions d’appareils exécutant Microsoft Windows, semant le chaos dans les médias, les compagnies aériennes, les banques, et plus encore. CrowdStrike a déclaré lundi que la majorité des appareils affectés devraient être revenus à la normale. Hier, un groupe d’actionnaires a déposé une action collective proposée dans un tribunal fédéral américain, affirmant que CrowdStrike les avait trompés quant au fonctionnement des tests logiciels au sein de l’entreprise, allégation que CrowdStrike nie. Cela survient alors que des rapports indiquent que Delta envisage également de demander des dommages et intérêts.
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