Le contenu de l’article suivant provient d’un partenaire. Il existe un certain nombre d’acronymes liés à la technologie dans l’industrie de la cybersécurité, mais DSPM est le dernier en date à prendre les devants; son buzz récent a attiré l’attention sur divers concepts de sécurité qui ont encombré la signification derrière la gestion de la posture de sécurité des données. DSPM fournit une visibilité sur l’emplacement des données sensibles, sur les personnes ayant accès à celles-ci, sur la manière dont elles sont utilisées et sur la configuration des contrôles et des autorisations de sécurité sur les magasins de données ou les applications hébergeant les données. Pour toute personne familiarisée avec Varonis, cela devrait sonner familièrement. Si nous pensons à toutes ces couches avant les données – les pare-feux, les points de terminaison, les passerelles, etc. – c’est là que les efforts de sécurité traditionnels ont été concentrés. Les pare-feux, les points de terminaison et les passerelles représentent un obstacle que les attaquants doivent surmonter et franchir pour atteindre leur véritable cible – les données stockées dans les magasins de données traditionnels et dans les applications SaaS. Pour maintenir une forte posture de sécurité des données, vous devez protéger les données où elles se trouvent. De cette façon, si une erreur ou un écart se produit au niveau de l’une de ces autres couches, la sécurité est maintenue car les données centrales sont verrouillées. Maintenant que nous avons couvert ce qu’est DSPM, démystifions les mythes entourant ce dernier.
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