‘La distribution Fedora 41 a fait ses débuts en octobre, proposant un choix stupéfiant de 29 variantes uniques sans inclure les différentes architectures et options de téléchargement. Sortie moins de trois semaines après Ubuntu 24.10, Fedora 41 propose quelque chose pour chaque utilisateur.
Le projet va au-delà de sa populaire station de travail GNOME, le porte-étendard de Fedora, pour inclure une multitude de variantes qui sont catégorisées pour faciliter la navigation. Cette distribution basée sur Linux est exhaustive, la preuve étant l’offre de Fedora 41 d’un spin de carrelage fonctionnant sur le serveur d’affichage Mir de Canonical.
Sous l’égide de Fedora, il existe cinq « Editions » distinctes, la station de travail basée sur GNOME étant le fleuron, reconnue pour sa grande visibilité. Polyvalente, elle fonctionne sur les architectures x86-64, Arm64 et PowerPC 64 bits en little-endian.
L’édition serveur, en revanche, est spécialement conçue pour ceux qui recherchent une distribution traditionnelle et hautement personnalisable. Elle ne dispose pas de bureau mais intègre l’interface de gestion web Cockpit. Sa compatibilité s’étend aux architectures x86-64, Arm64, PowerPC en little-endian, et S390 – incluant les mainframes IBM Z. De plus, elle fournit aux utilisateurs une gamme d’options de téléchargement telles que des images ISO ou qcow2 VM installables, des ISO d’installation par réseau, et même une image de disque brut pour Arm64, offrant ainsi 13 possibilités de téléchargement supplémentaires.
En conclusion, Fedora 41 semble viser à être la solution universelle pour les enthousiastes de l’open-source, offrant suffisamment de variété pour répondre à tous les besoins des utilisateurs. L’engagement du projet en faveur de la diversité et de la croissance continue est tout simplement remarquable, ce qui fait de Fedora 41 une installation vivement recommandée.’