Le gouvernement britannique était remarquablement avare de détails concernant l’intelligence artificielle dans le budget de printemps 2024, laissant les acteurs de l’industrie se demander exactement quelle est sa vision de la technologie. Le chancelier Jeremy Hunt a présenté son budget à la Chambre des communes avec l’assertion habituelle d’optimisme économique face à « une crise financière, une pandémie et un choc énergétique causé par la guerre en Europe ». Il y avait cependant quelques explications pour cet optimisme – le secteur technologique en pleine expansion du Royaume-Uni, que Hunt considère, du moins en partie, comme un chemin clair vers la croissance et l’emploi. Il a décrit le secteur technologique britannique comme l’une de « nos industries les plus innovantes » et, par conséquent, l’un des « moyens les plus puissants d’attirer l’investissement ». « En dehors des États-Unis, nous avons les universités les plus respectées, le plus grand secteur des services financiers et l’écosystème technologique le plus important d’Europe », a déclaré Hunt. « Nous avons le double de start-ups en intelligence artificielle par rapport à n’importe où ailleurs en Europe. Le double de l’investissement en capital-risque. »
« La Croisade acharnée d’un couple pour arrêter un tueur génétique »
En y repensant, cela aurait pu être un indice. Mais au début de l’année 2010, lorsque Kamni Vallabh a commencé
