La Chine, les États-Unis et l’Union européenne s’accordent pour collaborer à la sécurité des IA.

La Chine et les États-Unis ont convenu de travailler ensemble avec au moins 25 autres pays pour atténuer les risques découlant de la progression de l’IA. Les deux pays, ainsi que plusieurs autres pays, notamment l’Union européenne, l’Australie, l’Inde, l’Allemagne et la France, ont signé un accord, intitulé Déclaration de Bletchley, lors du Sommet britannique sur la sécurité des IA pour former une pensée commune qui superviserait l’évolution de l’IA et garantirait que la technologie évolue en toute sécurité. L’accord a été nommé d’après un lieu de Londres, qui a accueilli des déchiffreurs pendant la Seconde Guerre mondiale. Le Sommet auquel l’accord a été signé a été fréquenté par divers dirigeants politiques et dirigeants de sociétés technologiques, notamment Elon Musk et Sam Altman d’OpenAI. La Déclaration de Bletchley appelle les pays signataires à adopter deux approches générales pour maîtriser les risques de l’avant-garde, tels que la guerre nucléaire, chimique ou biologique, découlant de l’IA. «Nous sommes particulièrement préoccupés par de tels risques dans des domaines tels que la cybersécurité et la biotechnologie, ainsi que là où les systèmes d’IA de l’avant-garde peuvent amplifier des risques tels que la désinformation. Il existe un potentiel de dommages sérieux, voire catastrophiques, soit délibéré, soit involontaire, découlant des capacités les plus importantes de ces modèles d’IA», a-t-il été indiqué dans l’accord.

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