Les véhicules autonomes pourraient circuler sur les routes britanniques d’ici 2026, suite à l’entrée en vigueur de la loi sur les véhicules automatisés cette semaine. Le fait d’autoriser seulement deux ans jusqu’à ce que la technologie soit jugée capable de s’adapter aux routes britanniques pourrait être considéré comme un niveau d’optimisme d’Elon Musk, cependant la loi a quelques tours dans son sac, notamment en précisant que la responsabilité d’un véhicule ne reposera pas sur le conducteur lorsqu’il est en mode conduite autonome. Le Département des Transports du Royaume-Uni a déclaré : « Les entreprises auront l’obligation continue de maintenir leurs véhicules en sécurité et de veiller à ce qu’ils continuent à respecter les lois britanniques. » Des essais sont en cours depuis un certain temps au Royaume-Uni, et des entreprises telles que Wayve et Oxa continuent de tester des voitures autonomes à Londres et à Oxford. Ces tests ont été menés selon un code de pratique, qui exige, entre autres, « un conducteur ou un opérateur, dans ou hors du véhicule, prêt, capable et disposé à reprendre le contrôle du véhicule. » La loi ouvre la voie à l’automatisation de niveau 4, où un conducteur n’a pas besoin d’intervenir lorsque le véhicule se conduit lui-même. Le conducteur est retiré de la chaîne de responsabilité.
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