« Article sponsorisé La plupart des experts s’accordent à dire que la cybersécurité est désormais si complexe que sa gestion est devenue un problème de sécurité en soi. Cela s’est produit progressivement au cours des 25 dernières années, souvent pour de très bonnes raisons. Les hackers ont ciblé des vulnérabilités dans des systèmes isolés tels que les applications de messagerie électronique, les applications de bureau ou les PC Windows, il était donc logique de les protéger avec des couches de sécurité dédiées. Le résultat a été une multiplication d’outils et de systèmes, car de plus en plus de couches étaient nécessaires pour protéger les nouvelles technologies telles que les applications web, l’IoT et les appareils mobiles contre un flux constant de menaces. L’une des façons les plus simples de mesurer ce phénomène est de regarder le nombre d’outils de sécurité que les organisations utilisent pour se protéger, ce qui, selon une estimation récente, atteint entre 50 et 60 pour les organisations de taille moyenne et plus de 130 pour les grandes entreprises. Plus d’outils nécessitent plus de personnes, et plus de personnes ont besoin d’une gamme de compétences et d’expériences de plus en plus grande pour les utiliser correctement. Cela devient un obstacle énorme en soi, avec l’étude sur la main-d’œuvre de 2023 réalisée par ISC2 qui révèle que l’écart entre l’offre et la demande de professionnels en cybersécurité au Royaume-Uni est passé à 367 000. Manifestement, si la complexité de la gestion doit être surmontée, cela ne se fera pas en embauchant plus de personnes ou en utilisant moins d’outils, ce que la plupart des organisations ne peuvent pas facilement faire sans.
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