Le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS) possède une feuille de route en matière d’IA et un trio de projets pilotes pour déployer la technologie, dont l’un vise à former les agents d’immigration en utilisant une IA générative. Que pourrait-il bien se passer ? Aucun fournisseur d’IA n’a été nommé dans le rapport, qui affirmait que l’utilisation de la technologie avait pour but d’aider à améliorer la compréhension et la rétention par les stagiaires des « informations cruciales », ainsi que d' »accroître la précision de leur processus de prise de décision ». Il est indiqué qu’OpenAI, Anthropic, Meta, ainsi que les géants du cloud Microsoft, Google et Amazon, ont fourni à la Sécurité intérieure des technologies d’IA et des services en ligne à expérimenter en ce qui concerne la formation et la prise de décisions. « Les Services de Citoyenneté et d’Immigration des États-Unis (USCIS) testeront l’utilisation des LLM pour aider à former les agents des Opérations de Réfugiés, d’Asile et Internationales sur la manière de mener des entretiens avec les demandeurs d’immigration légale », explique la feuille de route d’Oncle Sam, publiée hier soir. Malgré les récents travaux visant à atténuer les imprécisions des modèles d’IA, il est connu que les LLM peuvent générer des informations erronées avec un niveau de confiance susceptible de décontenancer un jeune stagiaire.
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