La prochaine phase du programme lunaire chinois a débuté avec le lancement d’un nouveau satellite de relais de données lundi afin de relier les atterrisseurs et les rovers lunaires du côté éloigné de la Lune aux contrôleurs au sol sur Terre. Ce lancement a envoyé le vaisseau relais Queqiao-2 de la Chine vers la Lune, où il entrera en orbite elliptique et se positionnera pour l’arrivée du prochain atterrisseur lunaire robotique de la Chine, Chang’e 6, plus tard cette année. Une fusée Longue Marche 8 de taille moyenne a transporté le vaisseau Queqiao-2 depuis la base de lancement de Wenchang, située sur l’île de Hainan dans le sud de la Chine. Il s’agit du troisième vol de la fusée Longue Marche 8 propulsée au kérosène, faisant partie d’une nouvelle génération de fusées chinoises conçues pour remplacer d’anciens modèles de lanceurs Longue Marche utilisant un carburant toxique. Le deuxième étage de la Longue Marche 8 a déployé le vaisseau Queqiao-2 moins de 30 minutes après le décollage à 20h31 HAE (00h31 UTC). On s’attendait à ce que Queqiao-2 déploie des panneaux solaires et effectue une série de mises à feu propulsives pour se positionner en orbite autour de la Lune. Queqiao-2 se manoeuvrera ensuite dans une orbite « figée » stable autour de la Lune, minimisant la consommation de carburant tout au long de sa mission. L’orientation de l’orbite allongée de Queqiao-2 permettra au vaisseau de stationner pendant des heures au-dessus des sites d’atterrissage sélectionnés par les autorités chinoises pour la prochaine série de missions lunaires robotiques du pays.
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