L’auteur espère pouvoir intenter une action en justice contre OpenAI et Microsoft en vertu de la loi sur le droit d’auteur.

Pendant que le chaos se déchaîne chez OpenAI, le problème des atteintes aux droits d’auteur continue de hanter la jeune pousse après une nouvelle poursuite judiciaire. Le noyau du cas est trop familier. Un auteur n’est pas content que son travail ait été englouti comme données d’entraînement dans les modèles de génération de texte d’OpenAI derrière des services tels que ChatGPT. Dans ce cas, c’est Julian Sancton, auteur de Madhouse at the End of the Earth, qui documente une expédition polaire antarctique d’un bateau à vapeur norvégien à la fin du 19ème siècle. Selon la plainte, Sancton a passé cinq ans et des milliers de dollars sur le livre, sachant que la loi américaine sur le droit d’auteur donne des « droits exclusifs » ainsi que « les droits de reproduire les œuvres protégées ». La plainte de Sancton indique: « Ce cas concerne le mépris total de OpenAI et de Microsoft pour ces droits exclusifs. Les défendeurs [OpenAI et Microsoft] ont fait des reproductions commerciales de millions, voire de billions, d’œuvres protégées par le droit d’auteur sans aucune compensation aux auteurs, sans licence et sans autorisation.

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