Des chercheurs de l’université Carnegie Mellon et de la jeune pousse en intelligence artificielle Hugging Face ont collaboré pour évaluer l’empreinte carbone de toutes ces images sympathiques que nous avons générées au cours des dernières années. Ils ont découvert qu’il fallait autant d’énergie pour créer une image à l’aide d’une intelligence artificielle que pour charger un smartphone. La génération de texte, qu’il s’agisse d’une conversation avec un chatbot ou du nettoyage d’un essai, requiert logiquement beaucoup moins d’énergie. Les chercheurs ont examiné 13 tâches, allant de la synthèse à la classification de texte, et ont mesuré le dioxyde de carbone produit pour chaque 1 000 grammes. Les chercheurs exhortent les scientifiques et les praticiens en apprentissage machine à «faire preuve de transparence quant à la nature et aux impacts de leurs modèles, afin de mieux comprendre leurs impacts environnementaux». Prenez ChatGPT, le chatbot d’OpenAI. Il a plus de 10 millions d’utilisateurs par jour et 100 millions d’utilisateurs actifs mensuels. C’est beaucoup d’énergie. – Mat Smith Vous pouvez recevoir ces rapports quotidiennement directement dans votre boîte de réception. Abonnez-vous ici! Le dernier spectacle de Kiss s’est terminé par une performance d’avatars numériques conçus pour immortaliser le groupe.
Équilibrer la Numérisation et la Sobriété Numérique dans la Formation Professionnelle : Solutions Actuelles et Besoins Émergents
La formation professionnelle tout au long de la vie (FTLV) connaît une transformation significative dans le contexte actuel de numérisation