Dans un geste unique et non conventionnel, Deepinder Goyal, le PDG de Zomato, l’application indienne leader de réservation de restaurants et de livraison de nourriture, a placé une annonce d’emploi pour un poste de chef de cabinet qui nécessite que le candidat retenu finance son propre salaire. L’annonce d’emploi est apparue sur la plateforme X et adopte une approche hors du commun en stipulant qu’aucune expérience préalable n’est nécessaire, mais une soif de connaissance, de solides compétences en communication et un esprit intrépide sont des prérequis.
Goyal a balayé le concept traditionnel des descriptions de poste avec cette proposition extraordinaire. Il décrit les responsabilités inhérentes à ce poste de manière large et visionnaire : « Tout et n’importe quoi pour construire l’avenir de Zomato » ainsi que ses marques affiliées. Ceci montre à la fois la flexibilité du rôle et la culture créative et progressiste que Zomato encourage en son sein.
Cependant, l’aspect le plus déconcertant de l’annonce est qu’en plus de manquer des avantages habituels associés à un poste conventionnel de chef de cabinet, elle exige en fait que le candidat retenu offre un investissement financier personnel à hauteur de ₹2 millions ($23,700), payant essentiellement pour le privilège de travailler avec lui.
Le PDG de Zomato reconnaît que le rôle pourrait être « peu attrayant pour la plupart des gens », et cela pourrait bien être le nœud de cette stratégie intéressante. Renoncer au salaire habituel et plutôt faire un investissement dans l’organisation crée un sentiment immédiat d’engagement solide et de mentalité de partie prenante. Cette initiative de Goyal et Zomato marque une expérience intrigante dans la culture du lieu de travail et les processus d’embauche, repoussant les limites des méthodes de recrutement traditionnelles.