Le rêve vert d’Intel est des puces sans aucun impact sur la santé de Mère Nature.

Intel cherche des alternatives aux produits chimiques nocifs utilisés par l’industrie électronique depuis des décennies, face aux préoccupations croissantes concernant les impacts négatifs potentiels sur l’environnement et la santé humaine. Le secteur de la fabrication de puces relance une fois de plus le mouvement environnemental en s’engageant à devenir la « fonderie la plus durable de l’industrie » et en collaborant avec d’autres sociétés technologiques pour élaborer une feuille de route à bilan carbone net zéro à l’échelle de l’industrie. Les appels aux dirigeants de l’industrie pour qu’ils soient de meilleurs citoyens corporatifs font suite au premier Sommet mondial de la durabilité d’Intel la semaine dernière, où 140 organisations se sont réunies dans un effort uni pour réduire leur impact environnemental combiné à travers la chaîne d’approvisionnement en semi-conducteurs. Pour des fabricants de puces comme Intel, il ne s’agit pas seulement de chercher à réduire la consommation d’énergie et les émissions de dioxyde de carbone (CO2), mais aussi de prendre en compte la consommation d’eau et l’utilisation de produits chimiques agressifs impliqués dans la fabrication de semi-conducteurs. Les cadres d’Intel encouragent les fournisseurs et les acteurs de l’industrie à accélérer le remplacement des substances perfluoroalkyles et polyfluoroalkyles (PFAS) restantes, par exemple. Ce sont des produits chimiques synthétiques qui peuvent s’infiltrer dans le sol, l’eau et l’air, et certains s’inquiètent de leur impact sur la santé publique.

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