Le traitement d’Apple envers Epic Games attire l’attention des régulateurs de l’UE.

« We have requested further explanations on this from Apple under the DMA (Digital Markets Act), » a European Commission spokesperson told Reuters late Thursday. « We are also evaluating whether Apple’s actions [regarding Epic Games] raise doubts on their compliance with the DSA (Digital Services Act) and the P2B (Platform to Business Regulation), given the links between the developer program membership and the App store as designated VLOP (very large online platform). » Les plans d’Apple pour ce qu’Epic appelle « la conformité malveillante » en vertu du DMA, qui entre en vigueur aujourd’hui, ont suscité beaucoup d’attention ces derniers mois. Mais la déclaration de la Commission européenne suggère que son enquête pourrait également englober d’autres réglementations. La loi sur les services numériques, entrée en vigueur l’année dernière en Europe, est principalement axée sur la transparence des recommandations algorithmiques et les « risques systémiques » dans les plateformes promouvant la désinformation. Mais la loi stipule également que la modération des plateformes, y compris la suspension ou la résiliation de compte, doit être appliquée « de manière diligente, objective et proportionnée (souligné). » Que l’interdiction apparemment indéfinie d’Epic en matière de développement iOS soit conforme à cette norme de proportionnalité semble susciter de l’intérêt pour l’UE. Les réglementations commerciales de l’UE relatives aux plateformes exigent, en revanche, que les grandes plateformes comme Apple respectent certaines directives de transparence dans leurs communications avec d’autres entreprises. Cela inclut des instructions détaillées pour les « étapes préliminaires spécifiques » qui doivent être prises avant qu’une grande plateforme ne résilie un compte d’entreprise. »

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