Les jet-skis peuvent être une nuisance. J’en ai conduit quelques-uns dans ma vie, mais j’en ai fusillé des dizaines d’autres du regard depuis l’autre côté de l’eau. Un jet-ski est un ensemble bondissant et vif amusant pour une seule personne: celle qui est au volant. Pour tous les autres, ce sont les vuvuzelas des bateaux: bruyants, gênants et souvent utilisés par des ivrognes. Pour maintenir la paix, ces motos de mer sont interdites dans de nombreux lacs, rivières et autres voies navigables. Du point de vue de ma petite terrienne habituelle, je dis: tant mieux! Mais Taiga Motors, une entreprise canadienne de véhicules de sports motorisés, veut changer cette longue tradition de nuisance aquatique. Son jet-ski personnel Orca est une machine élégante qui ose poser la question: « Et si on avait un jet-ski qui ne vous donnerait pas envie de le faire exploser avec un canon? ». Orca n’est pas le premier jet-ski électrique. Parmi ses concurrents, on trouve la société suédoise Narke et son Electrojet, ainsi que le T3mp3st. Sea Doo propose une planche à hydrofoil électrique. D’autres entreprises ont présenté des versions qui ont eu une courte vie ou qui n’ont pas encore dépassé la phase de développement. En effet, les efforts de Taiga ont rencontré quelques difficultés. Orca était initialement prévu pour une sortie en 2020, mais le processus a été ralenti par les problèmes de chaîne d’approvisionnement et les problèmes généraux liés à la pandémie. Le premier modèle, Orca Carbon, est sorti en 2022 au prix de 26 500 $. Le dernier modèle d’Orca, doté d’un nouveau fond et d’une batterie rénovée, est sorti en août 2023. Il est légèrement moins cher, à 19 490 $. Taiga affirme avoir construit et vendu un millier de ces bateaux.
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