Malgré le fait que les Chromebooks de Lenovo se classent mal en termes de durabilité et de revenus, l’entreprise ne compte pas arrêter de les fabriquer, selon une responsable qui s’est exprimée mardi lors du Canalys APAC Forum de Bangkok. «Je ne sais pas qui en tire profit», a commenté Che Min Tu, vice-présidente sénior et directrice des opérations de Lenovo. «Tout le monde a eu du mal à vendre le Chromebook». Selon Mme Tu, le Chromebook n’est pas non plus un bon choix d’un point de vue environnemental – recycler ses matériaux ne sera ni facile ni bon marché. «Mais je pense que nous continuerons à vendre le Chromebook car il y a une demande», a expliqué Mme Tu, ajoutant que le principal moteur de cette demande est le secteur de l’éducation. Si le nombre de Chromebooks vendus a diminué depuis la pandémie, le marché de l’éducation a permis de maintenir l’activité. Aux États-Unis, l’éducation représentait 80% des ventes de Chromebook au deuxième trimestre de cette année.
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