Alors que j’écris cet article sur l’AceMagic X1, deux choses ressortent particulièrement. La première est sa commodité – pouvoir écrire sur un écran et consulter les spécifications et les informations sur l’ordinateur portable ainsi qu’une fenêtre de chat sur un second écran intégré. La deuxième est qu’à chaque frappe agressive, cet écran secondaire pratique bouge suffisamment pour me distraire et m’énerver. J’utilise souvent des ordinateurs portables ultralégers au design épuré et à petit écran, donc je trouve les ordinateurs portables à double écran intrigants. Les ordinateurs portables à double écran que j’ai utilisés jusqu’à présent étaient cependant accompagnés d’un énorme inconvénient : l’absence de clavier intégré. C’est ce qui fait que l’AceMagic X1 se distingue à mes yeux. Non seulement son écran secondaire se déplace horizontalement à partir du système (au lieu de verticalement), mais l’ordinateur portable parvient à intégrer deux écrans de 13 pouces ainsi qu’un clavier traditionnel et un touchpad. Cependant, la manière quelque peu précaire dont l’écran B pend du côté gauche de l’écran A, flottant au-dessus de ma table, prouve que même un clavier intégré ne peut résoudre toutes les limitations des designs d’ordinateurs portables à double écran. Pour ceux qui ne connaissent pas, AceMagic est une marque d’ordinateurs appartenant à la société chinoise CTONE. AceMagic vend d’autres ordinateurs portables en plus du X1. Mais si vous connaissez AceMagic, c’est probablement à cause de leurs Mini PC – ou à cause des logiciels malveillants découverts à l’intérieur de certains de ses Mini PC (AceMagic a réagi à cela). Avec cette récente histoire à l’esprit, ce qui rend le X1 le plus intéressant n’est pas ses spécifications ou ses résultats de benchmark, mais plutôt l’une des approches les plus distinctes et intelligentes pour offrir aux utilisateurs d’ordinateurs portables un espace d’écran supplémentaire.
« Les livres de Penguin Random House disent maintenant explicitement ‘non’ à la formation IA »
‘Écrit par Emma Roth, dont le portfolio couvre aussi bien les percées technologiques grand public, les dynamiques de l’industrie du