Le service de robotaxi de General Motors, Cruise, a conclu un accord pluriannuel avec Uber. Selon TechCrunch, cet accord permettra aux clients d’Uber de héler un taxi autonome de Cruise depuis leur smartphone à partir de l’année prochaine. Cela signifie que les taxis autonomes de Cruise seront de retour sur les routes pour la première fois depuis la collision avec un piéton à San Francisco en octobre 2023. Ni GM ni Uber n’ont donné de date ou de ville spécifique pour le déploiement des robotaxis de Cruise par Uber. Un porte-parole a déclaré au site Web que le nouveau partenariat entre Cruise et Uber suivrait le relancement du service de taxi sans conducteur de Cruise en 2025. Cruise teste actuellement des voitures avec des conducteurs humains sur les routes à Dallas, Phoenix et Houston avec des plans d’expansion vers d’autres villes. Uber a également un partenariat avec la flotte de voitures autonomes Waymo qui opère actuellement à Phoenix, Los Angeles et San Francisco. Cruise a également conclu un accord avec l’Administration nationale de la sécurité routière (NHTSA) à la suite d’une enquête ouverte en décembre 2022 sur trois collisions arrière impliquant ses véhicules autonomes. L’entreprise faisait l’objet d’une autre enquête après un accident survenu en octobre à San Francisco lorsqu’un de ses véhicules a percuté un piéton jeté sur son passage par un véhicule conduit par un humain, le traînant sur 6 mètres et provoquant d’autres blessures. Un rapport d’une tierce partie publié par Cruise a révélé que les cadres étaient au courant de l’incident mais n’avaient pas communiqué sur le sujet lors de réunions avec les autorités municipales et fédérales. Cruise a licencié neuf de ses cadres à la fin de l’année dernière à la suite de cette enquête. L’entreprise a également accepté de payer une amende à la Commission des services publics de Californie permettant à Cruise de relancer ses activités dans l’État.
« Les livres de Penguin Random House disent maintenant explicitement ‘non’ à la formation IA »
‘Écrit par Emma Roth, dont le portfolio couvre aussi bien les percées technologiques grand public, les dynamiques de l’industrie du