Les travailleurs britanniques s’ouvrent de plus en plus à l’intelligence artificielle générative – aux États-Unis, beaucoup moins.

Les travailleurs britanniques sont plus enthousiastes à l’égard de l’IA générative que leurs homologues américains, selon une étude de Slack. Les Britanniques voient une urgence beaucoup plus grande de s’adapter à cette technologie. Une étude de la plateforme de communication professionnelle a révélé que 60 % des travailleurs britanniques considèrent qu’il y a un besoin élevé ou existentiel d’intégrer l’IA générative dans leur travail, contre seulement 44 % des travailleurs américains qui partagent ce sentiment. En conséquence, 15 % des travailleurs britanniques ont déclaré qu’elle devrait être mise en œuvre dans les 18 prochains mois à 3 ans, contre seulement 5 % de ceux des États-Unis. Cela représente une proportion significativement plus élevée que dans d’autres pays : 57 % en Australie, 55 % au Japon, 41 % en Allemagne et seulement 33 % en France. Toutefois, malgré leur enthousiasme, seuls 19 % des employés britanniques ont déclaré avoir utilisé des outils d’IA au travail, soit le plus bas des pays interrogés, aux côtés des États-Unis.