Il y a plus de dix ans, dans un article du Harvard Business Review, Thomas Davenport a déclaré que le scientifique des données était le « métier le plus sexy du 21e siècle ». Aujourd’hui, à l’ère de l’intelligence artificielle générative (IA), le « prompt engineer » est-il sur le point de prendre ce titre? Ce qui est déjà certain, c’est qu’il s’agit d’un des emplois les plus recherchés. L’ingénierie des prompts consiste à obtenir les meilleures et les plus pertinentes réponses des outils d’IA génératifs, et elle est à la fois conversationnelle, « mais aussi programmatique avec des prompts intégrés dans le code », explique le contributeur de ZDNET David Gerwitz. De plus: six compétences dont vous avez besoin pour devenir un ingénieur de prompts en IA Les tarifs professionnels des emplois d’ingénierie de prompts en IA atteignent 175 000 $, mais peuvent dépasser 300 000 $ par an, note-t-il, ajoutant que « être un bon ingénieur de prompts en IA implique plus que de savoir poser des questions pertinentes. Vous devez combiner les disciplines de l’IA, du codage, de la linguistique, de la résolution de problèmes et même de l’art pour réussir sur cette voie professionnelle « . Avec le monde entier en émoi à propos de l’IA générative, les ingénieurs de prompts sont très demandés. Le problème est que la recherche de compétences en ingénierie de prompts est un défi insurmontable. La recherche d’ingénieurs de prompts n’est pas pour les âmes sensibles. « Je pense que la plupart des gens qui recrutent volent », plaisante Greg Beltzer, chef de la technologie chez RBC Wealth Management.
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