Article commandité Intelligence artificielle : sauveur des défenseurs cybernétiques, ou nouveau jouet brillant pour les voleurs en ligne ? Comme pour la plupart des choses dans la technologie, la réponse est un peu des deux. L’IA est le dernier et le plus puissant exemple d’un trope technologique commun : l’outil à double usage. Depuis des décennies, des outils allant des cracheurs de mots de passe à Metasploit ont eu un côté lumineux et un côté sombre. Les testeurs de pénétration les ont utilisés pour le bien, mettant en évidence les failles des systèmes que les administrateurs peuvent ensuite combler. Mais les cybercriminels – des adolescents skripteurs aux intrus d’état-nationaux – utilisent également ces mêmes outils à leurs propres fins néfastes. De même, l’IA offre aux défenseurs cybernétiques la possibilité d’automatiser davantage la détection des menaces, d’accélérer la réponse aux incidents, et en général, de rendre la vie plus difficile aux attaquants. Mais ces mêmes hackers sont trop heureux de multiplier les attaques de multiples manières avec l’aide de l’IA. La montée des attaques cybernétiques améliorées par l’IA L’IA est un couteau suisse pour l’escroc cybernétique moderne, surtout avec l’arrivée de l’IA générative (GenAI) alimentée par des technologies telles que les grands modèles de langage (LLMs) et les réseaux antagonistes génératifs. Les CISO ont raison de s’inquiéter de cette technologie relativement nouvelle. Le rapport 2024 Voix du CISO de Proofpoint a constaté que 54 % des CISO dans le monde sont préoccupés par les risques de sécurité posés par les LLMs, et à juste titre. GenAI ouvre de nombreuses nouvelles possibilités pour les cybercriminels de créer un contenu malveillant plus précis et ciblé.
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