Les dangers associés à l’intelligence artificielle générale (IAG) peuvent facilement être contrés par des actions, de manière similaire à la résolution par les êtres humains de l’appauvrissement de la couche d’ozone, selon Michael Dell, homonyme et fondateur de Dell Technologies Inc. « Depuis qu’il existe de la technologie, les êtres humains se sont inquiétés des mauvaises choses qui pourraient en découler et nous nous sommes raconté des histoires depuis des éons sur les choses horribles qui pourraient arriver avec toute nouvelle force inconnue dans le monde », a déclaré Dell lors d’une discussion virtuelle organisée par le cabinet de recherche et de courtage Bernstein. Dell a ensuite exprimé son opinion selon laquelle les êtres humains ont « un excellent mécanisme » pour s’inquiéter de choses et créer ensuite des contre-mesures « afin que les mauvaises choses ne se produisent pas réellement ». « Même depuis – nous avons à peu près le même âge – vous vous souvenez de la couche d’ozone et tout ça, je veux dire, il y avait toutes sortes de choses horribles qui allaient arriver. Elles ne sont pas arrivées parce que les humains ont pris des contre-mesures », a-t-il déclaré à Toni Sacconaghi de Bernstein. Selon le Programme des Nations Unies pour l’environnement, il reste encore environ quatre décennies avant que la couche d’ozone ne se rétablisse. L’accord historique visant à éliminer les substances appauvrissant la couche d’ozone, connu sous le nom de Protocole de Montréal, est déjà en place depuis près de 35 ans.
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