Les logiciels de collaboration utilisés par les agences gouvernementales fédérales – cela inclut les applications de Microsoft, Zoom, Slack et Google – devront être en mesure de fonctionner ensemble et d’être cryptés de bout en bout de manière sécurisée, si la législation proposée par le sénateur américain Ron Wyden (D-Oregon) est adoptée. C’est une grande incertitude. Sans un fort élan bipartisan derrière elle, sa proposition n’est pas censée devenir loi au cours de cette année électorale. Wyden a proposé la législation, la Loi sur la technologie de collaboration gouvernementale sécurisée et interopérable [PDF], le mardi. Il vise à rendre les produits de concurrents, tels que Teams et Zoom, par exemple, capables de communiquer entre eux de manière plus sécurisée. En particulier, il exigerait de la General Services Administration (GSA) du gouvernement américain de créer une liste des fonctionnalités technologiques de collaboration utilisées par le gouvernement fédéral. Ensuite, le National Institute of Standards and Technology (NIST) devrait identifier un ensemble de normes et d’exigences interopérables pour chacune d’entre elles. La législation exigerait également que, « dans la mesure du possible », le chiffrement de bout en bout et d’autres technologies visant à protéger les communications gouvernementales contre l’espionnage étranger soient intégrés. Ces technologies de collaboration doivent également être conformes aux exigences fédérales en matière de conservation des archives.
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