« Nos décisions en matière de technologies de l’information coûtent-elles la planète? »

Article sponsorisé Les deux dernières décennies ont été marquées par un exode constant des applications professionnelles et des charges de travail des installations sur site vers les plateformes de cloud public. Des organisations de toutes tailles et de tous secteurs ont été attirées par la promesse d’économies et d’efficacité, séduites par l’objectif de traiter le calcul comme une simple utilité facilement accessible, comme l’électricité ou l’eau. Selon une étude de la société de services technologiques AAG, plus de 98 % des organisations utilisent désormais le cloud d’une manière ou d’une autre, que ce soit sous forme d’applications en mode SaaS, IaaS ou PaaS ou de déploiement d’un réseau entièrement basé sur le cloud. Compte tenu de cette statistique, il n’est peut-être pas surprenant d’apprendre que les dépenses mondiales de cloud public devraient atteindre un étonnant 1,35 billion de dollars par an d’ici 2027, selon le cabinet d’études IDC. Il n’est donc pas étonnant que le secteur des centres de données peine à planifier tous ces mouvements et stockages de données, en particulier compte tenu du coût croissant de l’électricité nécessaire pour alimenter leurs installations et des océans d’eau nécessaires pour les refroidir. Certains commencent maintenant à se demander si une migration irréfléchie vers le cloud est nécessairement la meilleure réponse à tous les besoins de provisionnement en IT. Des interrogations planent assurément autour de la philosophie du ‘cloud first’, l’orthodoxie qui affirme qu’il est toujours préférable de prioriser l’adoption des technologies cloud par rapport aux solutions traditionnelles sur site. De nombreux décideurs en matière d’IT voient désormais l’intérêt de répartir les charges de travail entre les clouds publics et leur propre infrastructure.

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