Les options de divertissement continuent de se multiplier alors que HULU, Netflix, Max, Disney+, Apple TV+, Prime Video, Shudder, Paramount+, Peacock, et d’autres encore, rivalisent pour les spectateurs avec une multitude de films, de séries télévisées et de choix spécifiques. Cette pléthore de choix peut être captivante mais potentiellement accablante. Entrent en jeu des plateformes en ligne comme Mashable, qui fournissent un guide des sorties les plus populaires et les mieux notées dans tous les genres : comédie, thriller, horreur, documentaire, animation, et au-delà. Ces guides visent à mettre l’accent sur les contenus nouveaux et divertissants, et à vous libérer du fardeau du choix.
Chaque semaine, l’équipe Entertainment de Mashable plonge dans une mer de contenus provenant de diverses plateformes de streaming pour extraire les sorties les plus discutées. Cela englobe tout, des films d’horreur à suspense aux comédies réconfortantes, en passant par le vrai crime glaçant ou la toute dernière série à succès.
Netflix s’est taillé une niche dans le genre du vrai crime, en proposant une gamme de documentaires captivants, de séries choquantes et d’adaptations absorbantes. Cette semaine, une nouvelle sortie a fait sensation : « Woman of the Hour », un drame sur l’infâme histoire vraie du tueur du jeu de rencontres.
Cependant, cette sortie peut ne pas être pour tout le monde. Anna Kendrick, célèbre pour son rôle dans Pitch Perfect, réalise et joue dans cette histoire qui se centre plus sur le tueur Rodney Alcala que sur ses victimes. Kendrick joue une actrice en herbe dont la vie est menacée lorsqu’elle participe à une émission de télévision douteuse. Le scénario de Ian MacAllister McDonald oscille à travers le temps d’Alcala pour recréer des meurtres atroces, mais prête une attention minimale aux victimes. Le final est fictif, retouché avec du glamour hollywoodien. Bien que l’histoire réelle derrière le tueur du jeu de rencontres soit indéniablement glaçante, « Woman of the Hour » opte pour une approche différente, mettant davantage l’accent sur la dynamique narrative que sur la représentation des effets sinistres de tels crimes.