Microsoft essaie depuis si longtemps de faire des processeurs Arm avec Windows une réalité que, à un moment donné, j’ai commencé à supposer que cela n’allait jamais vraiment se produire. Le premier effort a été Windows RT, qui fonctionnait assez bien sur le matériel Arm disponible à l’époque mais était livré avec une nouvelle interface déconcertante et ne pouvait pas exécuter les applications conçues pour les PC Windows habituels basés sur Intel et AMD. Windows RT a échoué, en partie parce qu’une version de Windows qui ne pouvait pas exécuter les applications Windows et n’utilisait pas une interface Windows familière ignorait deux grandes raisons pour lesquelles les gens continuent d’utiliser Windows. Windows-on-Arm est revenu à la fin des années 2010, avec de meilleures performances et une couche de traduction pour les applications Intel 32 bits en prime. Cette version de Windows, principalement confinée aux matériels Surface excentriques et à une poignée de modèles à peine promus des grands fabricants de PC, a tranquillement mijoté pendant des années. Il s’est amélioré lentement et progressivement, tout comme les processeurs Qualcomm qui ont alimenté ces appareils. Cela nous amène aux matériels phares de Microsoft de cette année : le Surface Laptop de 7e génération et le Surface Pro de 11e génération. Ces appareils sont les premiers appareils Surface phares grand public de Microsoft à utiliser des puces Arm, alors que les efforts précédents étaient des projets annexes ou des variantes non par défaut. À la fois le matériel et le logiciel se sont suffisamment améliorés pour que je puisse enfin recommander un appareil Windows-on-Arm à beaucoup de gens sans devoir le précéder d’une série d’exceptions.
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