La Commission européenne a ouvert des procédures formelles pour évaluer si Meta, le fournisseur de Facebook et Instagram, aurait enfreint la loi sur les services numériques (DSN) dans des domaines liés à la protection des mineurs. L’action fait suite à une enquête distincte sur le présumé échec de Meta à surveiller correctement la distribution de désinformations politiques par des « acteurs étrangers » avant les élections européennes de juin. Cette nouvelle action signifie que l’exécutif de l’Union européenne examinera trois violations potentielles de la DSN, introduite pour la première fois en août de l’année dernière. La législation prévoit des amendes pouvant aller jusqu’à 6 % du chiffre d’affaires annuel mondial, ce qui, dans le cas de Meta, équivaudrait à environ 8,5 milliards de dollars. Tout d’abord, la Commission enquêtera sur le fait que le géant des réseaux sociaux a-t-il évalué et atténué les risques causés par la conception des interfaces en ligne de Facebook et Instagram, « qui pourraient exploiter les faiblesses et l’inexpérience des mineurs et provoquer des comportements addictifs, et/ou renforcer l’effet soi-disant ‘terrier du lapin’. » Deuxièmement, la Commission examinera si Meta a suffisamment fait pour empêcher l’accès des mineurs à du contenu inapproprié. En particulier, elle se questionnera sur la raisonnable, proportionnelle et efficace des outils de vérification d’âge utilisés par Meta.
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