Un laboratoire de réacteur nucléaire américain a été attaqué par des « pirates gay félins » demandant des mutants humains-chat.

Les « gay furry hackers » de SiegedSec sont de retour : cette fois-ci en se vantant d’avoir piraté les ordinateurs du plus grand laboratoire nucléaire américain et d’avoir volé des données sur des milliers de salariés. Il semble que certaines de ces données aient déjà été divulguées. SiegedSec, qui prétend également avoir violé la sécurité informatique de l’OTAN à deux reprises cette année, affirme avoir maintenant ciblé le Idaho National Laboratory (INL), géré par le Bureau de l’énergie nucléaire du département de l’Énergie des États-Unis. Les numéros de sécurité sociale des employés, les adresses physiques et les données sur les comptes bancaires figurent parmi les informations qui auraient été subtilisées. Le laboratoire a au moins reconnu qu’une attaque informatique avait eu lieu dans ses systèmes de gestion des ressources humaines. « Le lundi 20 novembre, le Idaho National Laboratory a déterminé qu’il était la cible d’une violation de données en cybersécurité dans un système de fournisseur approuvé par le fédéral en dehors du laboratoire qui prend en charge les services de gestion des ressources humaines en nuage d’INL », a déclaré le porte-parole Lori McNamara à The Register aujourd’hui. « INL a pris des mesures immédiates pour protéger les données des employés. »