« Il se pourrait que vous puissiez savoir en quelle période de l’année nous sommes en observant la floraison des arbres ou les jacinthes des bois. Mais pour les clients d’Oracle coincés dans un bureau quelque part, il existe une autre manière de savoir que nous sommes en mai sans consulter un calendrier. Une frénésie d’appels commerciaux d’Oracle, des gestionnaires de compte prenant contact avec une profonde préoccupation concernant les arrangements de licences, et des offres de réductions qui disparaîtront certainement à la fin du mois. C’est exact, c’est la fin d’année fiscale de Big Red. L’exercice financier d’Oracle se clôture le 31 mai. Pour les clients, cela peut être une opportunité d’obtenir des réductions sur les logiciels qu’ils envisagent d’acheter, mais Oracle essaiera également de mettre la pression sur les clients en contournant le point de contact principal ou en évoquant la possibilité d’un audit logiciel – voire en le menaçant directement. Ici, The Register s’entretient avec quatre experts en licences pour voir ce que les clients pourraient attendre d’Oracle à l’approche de la fin de son exercice financier, comment ils pourraient se prémunir contre ses tactiques, et trouver des moyens de tirer parti de la situation. Craig Guarente, fondateur et PDG de Palisade Compliance, une société de conseil en licences Oracle, a passé les 16 premières années de sa carrière à travailler pour Oracle afin de l’aider à négocier des accords de l’autre côté de la barrière. La fin d’année fiscale a toujours été un moment « fou » chez Oracle, dit-il. »
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