La lutte de la banque pour remplacer Atos a ramené le système aux temps sombres.

Un rapport sur la dette du gouvernement britannique révèle qu’une banque du secteur public s’est appuyée sur « les gens et le papier » pour traiter les transactions pendant la pandémie alors qu’elle peinait à remplacer le prestataire de services sortant Atos. En mai de l’année dernière, la National Savings & Investment (NS&I) a prolongé son contrat avec le prestataire français de services informatiques et d’externalisation Atos car la banque publique avait des difficultés à trouver un remplaçant. Bien qu’elle ait lancé le processus de passation de marché en 2021, la banque a manqué les délais pour remplacer son modèle de fournisseur unique et passer à plusieurs prestataires. Elle a prolongé le contrat avec le fournisseur français de mars 2024 à mars 2025 pour permettre ce retard. Le Comité des comptes publics (PAC), un organe de contrôle des dépenses parlementaires, affirme maintenant que la NS&I devrait se préparer à prolonger à nouveau le contrat; montrer comment elle trouverait le budget; et ce qu’elle ferait si Atos refusait. Dans son rapport sur les emprunts du gouvernement, le PAC souligne qu’il y a déjà eu des retards importants dans le projet de remplacement d’Atos et d’amélioration des performances numériques, appelé le Programme Arc-en-ciel.

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