Les mauvais bots sont en hausse alors que près de la moitié de tout le trafic internet est désormais automatisé.

Les robots Internet représentent près de la moitié du trafic web mondial, selon une nouvelle étude, une partie importante de cette activité frauduleuse étant malveillante. Le 11e rapport annuel sur les mauvais bots d’Imperva montre que le trafic de bots malveillants a continué d’augmenter en 2024, marquant une cinquième année consécutive d’activité malveillante accrue. Imperva définit les mauvais bots comme des applications logicielles effectuant des tâches automatisées, imitant les utilisateurs légitimes, dans un but malveillant. Ces bots peuvent être utilisés à diverses fins néfastes, telles que des attaques de déni de service distribué (DDoS), du scalping, du bourrage d’informations d’identification, du scraping, et plus encore. Le rapport d’Imperva se concentre sur l’activité des mauvais bots au niveau application (couche 7) du modèle OSI, par opposition aux protocoles réseau de bas niveau utilisés pour les attaques DDoS volumétriques.

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