Dieu bénisse ce gâchis. Le ministère de l’Éducation du Royaume-Uni a fait ses calculs et a constaté que, parmi toutes les professions, c’est celle des membres du clergé qui est la plus exposée aux risques liés à l’intelligence artificielle. La «Rapport sur l’impact de l’intelligence artificielle sur les emplois et la formation au Royaume-Uni» [PDF] a été publié hier dans le but de quantifier les conséquences de cette technologie merveilleuse pour le monde professionnel. La recherche s’appuie sur une méthode développée par Felten et al. [PDF] aux États-Unis et l’applique à un contexte britannique, ce qui donne un score d’exposition professionnelle à l’IA (AIOE). «Le score AIOE permet de classer les emplois en fonction du degré de probabilité qu’ils soient touchés par les progrès de l’IA, en fonction des capacités requises pour exercer cet emploi», explique le rapport. Toutefois, les chercheurs soulignent que «les estimations des emplois les plus exposés à l’IA reposent sur un certain nombre d’hypothèses incertaines, de sorte que les résultats doivent être interprétés avec prudence.»
Les Problèmes Communs Rencontrés par la Société dans l’Utilisation Efficace des Derniers Développements de l’Intelligence Artificielle
Les Problèmes Communs Rencontrés par la Société dans l’Utilisation Efficace des Derniers Développements de l’Intelligence Artificielle Introduction L’intelligence artificielle (IA)