Le groupe de Défense Science Technology de l’Australie mettra en ligne un superordinateur au second semestre de 2024, mais lorsque The Register a demandé des informations sur ses spécifications, la seule réponse que nous avons reçue était « Question suivante ». Nous avons été avertis qu’une telle réponse était à prévoir par Kristina Johnson, directrice de la collaboration stratégique en supercalcul du groupe, qui a débuté sa présentation lors de la conférence Supercomputing Asia 2024 à Sydney hier en précisant que ses diapositives avaient été examinées et marquées « Officiel » – l’équivalent australien d’un document non classé. Mais la présentation décrivait un superordinateur classifié, donc elle n’a pas pu répondre à certaines questions sur Taingiwilta* – le nouveau joujou de l’Australie. Johnson n’a donc pas pu répondre à nos questions sur les processeurs, les GPU, le compte de cœurs, ou d’autres aspects techniques de Taingiwilta. Elle a toutefois mentionné que la tâche principale de la machine dans un avenir prévisible sera la dynamique des fluides computationnelle, et a révélé qu’elle exécutera des logiciels développés dans le cadre du programme CREATE (Computational Research and Engineering Acquisition Tools and Environments) du Département de la Défense des États-Unis.
« Les livres de Penguin Random House disent maintenant explicitement ‘non’ à la formation IA »
‘Écrit par Emma Roth, dont le portfolio couvre aussi bien les percées technologiques grand public, les dynamiques de l’industrie du