Revue : Récepteur réseau Yamaha R-N1000A

C’est le moment idéal pour se concentrer sur le son stéréo. Les formats multi-enceintes tels que le Dolby Atmos attirent toute l’attention, mais si vous construisez un système stéréo tout-en-un ou 2.1 pour améliorer tout, de votre platine tourne-disque à votre téléviseur, il n’y a jamais eu autant d’options. Avec des amplificateurs et des récepteurs de streaming stéréo fleurissant dans tous les coins de la sphère audio (sans oublier les nombreuses enceintes bibliothèque amplifiées), il peut être difficile de savoir par où commencer. Le R-N1000A rend les choses faciles. Positionné juste en dessous de l’ambassadeur de Yamaha, le R-N2000A, le R-N1000A est cher mais accessible, offrant un mélange solide de connectivité polyvalente, de performances exceptionnelles et d’une utilisation stable. On pourrait s’attendre à ce qu’une marque audio légendaire offre des performances cohérentes sur toutes les sources à l’ère du streaming, mais comme l’ont prouvé nos tests approfondis, juxtaposer des composants audiophiles traditionnels avec des fonctions modernes comme le Wi-Fi et l’HDMI ARC n’est pas une mince affaire. Le N1000A prouve que vous pouvez tout avoir en un seul boîtier, affichant une stabilité inhabituelle dans un ensemble puissant et amusant, conçu sur mesure pour l’ère stéréo moderne. En sortant le massif mais élégant R-N1000A de son emballage, ma première question était : où se trouve l’écran sur cet appareil ? Ne vous méprenez pas, j’adore le visage étincelant du récepteur avec ses boutons de sélection tactiles, surtout dans le modèle argent que j’ai testé, mais même le design rétro le plus cool exige des concessions modernes. Ce n’est qu’après avoir mis l’appareil en marche que j’ai réalisé que la bande noire discrète le long de sa base était l’écran, offrant un guide petit mais lisible pour la source, le niveau du volume et d’autres réglages. Ce n’est pas aussi pratique ou polyvalent que les grands écrans sur des amplificateurs de streaming plus coûteux comme le RA-5000 de Rotel (7/10, WIRED recommande) ou l’Uniti Atom de Naim (8/10, WIRED recommande), mais il fait le travail sans perturber l’esthétique vintage. Il faut ajouter que l’application MusicCast de Yamaha, nécessaire pour la configuration Wi-Fi, affiche des commodités comme la pochette d’album et la résolution des fichiers numériques.

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